SACRE DU NOUVEL ÉVÊQUE DE LISALA : Tous les héros zéros de la Mongala étaient présents !
SACRE DU NOUVEL EVEQUE DE LISALA : Grosse interpellation des « leaders » de la Mongala !
La Province la Mongala , par son chef-lieu Lisala a accueilli du beau monde, le dernier weekend du 28 au 30 mai 2021, à l’occasion du sacre du nouvel évêque du diocèse de Lisala, chef-lieu de ladite province. C’est plus précisément le samedi 29 mai 2021 qu’on a vu la plupart de ses filles et fils engagés en politique et autres affaires du monde, atterrir en grand nombre dans cette ville. Une ville qu’on appellerait ville-vestiges, tant elle ressemble aujourd’hui aux reliques d’un glorieux passé colonial que les 32 ans de pouvoir du Maréchal Mobutu ont plus que desservi… Aujourd’hui plus qu’hier, Lisala n’est plus qu’une ville en voie de disparition à cause des érosions et le manque d’infrastructures en tout genre.
Tous ces politiques, opérateurs économiques et autres qui avaient pris d’assaut la ville de Lisala : Qui sénateur, député national ou provincial, membre du gouvernement provincial ou central, membre des institutions, haut cadre des entreprises publiques etc. Tous se sont précipités d’arriver à Lisala comme de charognards sur un cadavre en décomposition, comme l’vait écrit un con confrère de sccoprd.net, du moins dirait-on, ce qui reste encore de la ville de Lisala qui tombe en ruine. Il n’y est pas allé du dos de la cuillère pour peindre le triste décor du sacre du nouvel Evêque avec ces convives pour la plupart « indésirables » pour cette ville nourrière de la plupart des élites de ce pays.
Effectivement, les images qui ont circulé sur les réseaux sociaux ce samedi ne peuvent que révolter tout celui qui est passé par ce haut lieu de savoir de jadis, car ayant vu passer la plupart de la crème intellectuelle tant laïque que religieuse à l’instar des cardinaux Joseph Malula et Frédéric Etsou, messeigneurs Louis Nganga, Joseph Kumuondala, Frédéric Maemba…, les professeurs d’universités de haute facture, avocats, magistrats, politiciens et autres.
Pour cause, les politiques ont trahi cette province qui pourtant riche, mais est restée à la traîne par manque d’initiatives de développement à l’interne et d’autres projets financés soit par le gouvernement, soit par les organismes, souvent détournés pour de raisons ethnocentriques avec la complicité de ceux qui ont rempli les bancs ce samedi lors du sacre de Mgr Joseph-Bernard Likolo à Lisala.
Toute honte bue, cette « politicaille » a eu même l’audace de faire de bain de foule, abusant de la naïveté d’une population non-avertie et manipulable à coup de quelques billets de banque souvent détournés. Oui, ils ont tous voulu faire voir leur visage à Lisala, certains même après avoir débarqué les vrais invités du diocèse au profit de calcul politique.
D’après une source proche des anciens séminaristes de Bolongo, le directeur de cabinet adjoint du chef de l’État, ressortissant de ce coin aurait été menacé par ceux qui pensent détenir le droit de vie et de mort dans cette province, pour qu’ils bénéficient de titres de voyage mis à la disposition des invités du diocèse et pris en charge par le chef de l’État Félix Tshisekedi.
Car il faut noter que ces hommes et femmes que la Mongala a le malheur d’avoir comme « leaders », passent leur temps à se quereller et à se combattre fratricidement pour des intérêts égoïstes et ethno-claniques. Alors que pendant ce temps, la province manque de tout : la N6 inexistante de Akula jusqu’à Bunduki en passant par Lisala et Bumba. Le pont Loeka qui reliait jadis Bumba à Yalimba n’existe plus, sans compter plusieurs ponts entre Bumba et Lisala. La route Akula -Binga est devenue un sentier où seuls vélos ou motos peuvent passer. Et c’est dans ces conditions de honte que cette politicaille s’est rendue dans le chef-lieu de la Mongala. Soit!
L’on a noté hormis le cardinal Fridolin Ambongo, l’archevêque Ernest Ngboko de Mbandaka-Bikoro, une dizaine d’évêque a fait le déplacement de la ville de naissance du maréchal Mobutu y compris le nonce apostolique. Mgr Joseph-Bernard Likolo arrive dans un diocèse qui nécessite sa délocalisation dans les jours qui viennent à cause des érosions qui ont déjà encerclé l’essentiel d’infrastructures du diocèse : la cathédrale Saint Hermès et sa paroisse, l’évêché situé à deux pas de là, le collège Saint Thomas More, l’école primaire Monyele etc…
La question qui reste à poser est de savoir qu’elle a été cette fois-ci la promesse faite au nouvel évêque par ces incorrigibles ?
Toute honte bue, cette « politicaille » a eu même l’audace de faire de bain de foule, abusant de la naïveté d’une population non-avertie et manipulable à coup de quelques billets de banque souvent détournés. Oui, ils ont tous voulu faire voir leur visage à Lisala, certains même après avoir débarqué les vrais invités du diocèse au profit de calcul politique. D’après une source proche des anciens séminaristes de Bolongo, le directeur de cabinet adjoint du chef de l’État, ressortissant de ce coin aurait été menacé par ceux qui pensent détenir le droit de vie et de mort dans cette province, pour qu’ils bénéficient de titres de voyage mis à la disposition des invités du diocèse et pris en charge par le chef de l’État Félix Tshisekedi. Car il faut noter que ces hommes et femmes que la Mongala a le malheur d’avoir comme « leaders », passent leur temps à se quereller et à se combattre fratricidement pour des intérêts égoïstes et ethno-claniques. Alors que pendant ce temps, la province manque de tout : la N6 inexistante de Akula jusqu’à Bunduki en passant par Lisala et Bumba. Le pont Loeka qui reliait jadis Bumba à Yalimba n’existe plus, sans compter plusieurs ponts entre Bumba et Lisala. La route Akula -Binga est devenue un sentier où seuls vélos ou motos peuvent passer. Et c’est dans ces conditions de honte que cette politicaille s’est rendue dans le chef-lieu de la Mongala. Soit!
L’on a noté hormis le cardinal Fridolin Ambongo, l’archevêque Ernest Ngboko de Mbandaka-Bikoro, une dizaine d’évêque a fait le déplacement de la ville de naissance du maréchal Mobutu y compris le nonce apostolique. Mgr Joseph-Bernard Likolo arrive dans un diocèse qui nécessite sa délocalisation dans les jours qui viennent à cause des érosions qui ont déjà encerclé l’essentiel d’infrastructures du diocèse : la cathédrale Saint Hermès et sa paroisse, l’évêché situé à deux pas de là, le collège Saint Thomas More, l’école primaire Monyele etc…
La question qui reste à poser est de savoir qu’elle a été cette fois-ci la promesse faite au nouvel évêque par ces incorrigibles ?