LES REMERCIEMENTS DE CONSTANT OMARI ARRIVES A BON PORT! JAMAIS L’ON VA SE TAIRE. A LUI DE CESSER DE DISQUALIFIER LE RESTE DES OMARIBOYS ENCORE ELIGIBLES…
Il semble que l’une des dernières publications a fait mouche ! Les officines du mal et les labos occultes des maffieux ont été sérieusement secoués. Les investigations de lamongalardc.com se sont dangereusement rapprochées des stratégies de mauvais Omariboys qui pensent encore revenir aux affaires, le plus rapidement possible, après les 18 années de règne sans partage. Ils ont promis de s’investir à fond pour reprendre «leur affaire, leur FECOFA», de gré ou de force !
En conséquence : moyens financiers conséquents mobilisés, ressources humaines de tout bord réquisitionnés, enlèvements et séquestrations des adversaires orchestrés sur base de fausses accusations xénophobes auprès des Services de sécurité et de sureté d’Etat, diabolisation et intox à outrance… Tout est, et sera mis en œuvre pour contrôler le prochain Exécutif de la FECOFA…
LES OMARIBOYS ONT DROITS SUR TOUT, LES AUTRES RIEN.- Aussi, sur le terrain, les uns ont tout à dire et peuvent tout écrire du moment où l’actuelle gestion de la FECOFA, le CONOR de la FECOFA cela s’entend, la CAF et la FIFA sont prises à partie. Les autres, devront se taire. Telle semble être la consigne des Omariboys qui, avec les épaules galonnées proches de leur état-major, de leur obédience, sont prêts à mettre hors d’état de nuire toute personne qui serait opposée à leurs intérêts, à leurs ambitions électorales et électoralistes. A cette allure, on risque d’en arriver à mort d’hommes, rien que pour prendre les rennes de la FECOFA. C’est justement cette atmosphère de surchauffe de l’opinion sportive qui oblige la FIFA et la CAF à suivre de très près le processus électoral de la FECOFA.
A peine, a-ton réagit, une seule fois du reste, à un feuilleton à plusieurs épisodes des écrits de leurs scribes que ça s’enflamme. Tout simplement parce qu’on n’a pas eu le même regard que leurs maîtres à penser. On n’a pas traité la FECOFA, mieux les membres du CONOR de la FECOFA, de tous les maux d’Israël. C’est pour cela qu’on s’est mis les Omariboys sur le dos au point de s’offrir des menaces à peine voilées, de « l’Autorité morale », l’ancien président de la FECOFA, Constant Omari Selemani.
DES MENACES A PEINE VOILEES DE L’HOMME MODERNE.- TH, L’Homme moderne, a fait parvenir à lamongalardc.com, d’un côté, par le truchement d’un cher et distingué aîné, le grand Immaculé Colonel-Magistrat militaire « Budza de la Mongala », un message de «notre ingratitude, pour nous avoir laissé dans le staff des Léopards pendant huit années ». De l’autre côté, par un ami du patron de lamongalardc.com, l’ancien président de la FECOFA, Constant Omari, sur le même ton de désappointement, dit « MERCI» au patron du web site lamongalardc.com. Ironie du sort ! C’est plutôt à notre Web Manager de le remercier «pour tout ce qu’il a fait pour lui», a-t-on laissé entendre, «en le gardant à vie jusqu’à ce jour».
Dès lors, on s’attend au sort de ceux qui font face ou ne se mettent à genoux devant L’Homme moderne, le Géant catalogue, le maître de la FECOFA et des environs. Quant au promoteur de lamongalardc.com, c’est du boulot qu’il faisait à FEOCOFA, pour lequel du reste, on le payait en monnaie de singe, sous le règne sans partage de L’Homme moderne. On évite de s’y étendre…
CORRECT ET COMPETENT DANS L’EXERCICE DE SES MISSIONS.- Correctif au président Constant Omari, le patron de lamongalardc.com, a été responsable des médias des Léopards durant seulement quatre années, de 2015 à 2019, et non huit comme il l’a laissé entendre à l’aîné émérite Colonel Magistrat militaire. Et d’ailleurs, c’est par un concours de circonstance malheureuse, le décès inopiné de feu Modeste Nzila Fanan d’heureuse mémoire, alors Directeur de la Communication et Médias de la FECOFA (FECOFA). Etant son adjoint, il lui a été permis de le remplacer…
Le Web manager de lamongalardc.com n’a pas été défaillant dans ses missions, peut-on conclure. Lui-même, Constant Omari, alors président de la FECOFA, avait été félicité par les journalistes conférence de presse, de retour de la campagne de la Médaille de Bronze de la CAN Guinée équatoriale 2015. Il avait même reconnu ce jour-là qu’on pouvait « faire de la bonne sauce avec une vieille marmite ». La même marmite qu’il avait finit par mettre hors de portée, sentant sa « mort footballistique proche», à l’annonce des sanctions à venir de la FIFA.
S’il faille lui rafraîchir la mémoire, il l’avait viré du staff des Léopards au départ de Jean-Florent Ibenge sans égards, sans quelque notification, au motif qu’il n’avait pas « l’ADN de Team Media Officer (TMO) »… Qui pouvait résister, contrer ou s’opposer à la volonté de Constant Omari, président ? C’est pratiquement comme s’il avait droit de vie ou de mort sur tous ses sujets à la FECOFA. Qui dirait le contraire ? On le défie à prouver le contraire…
JAMAIS L’ON SERA REDUIT AU SILENCE.- Le moins que l’on ne puisse dire aujourd’hui serait d’accepter d’être réduit au silence par les Omariboys afin de les laisser-passer et laissez-faire sans broncher. Du n’importe quoi ! Jamais l’on se laisera trainer par le bout du nez. Advienne que pourra ! S’il y a à recadrer dans les affaires du football, on le fera, toujours, de gaîté de cœur et à plume aiguisée. C’est tout ce que l’on dispose pour se défendre. Les millions, c’est aux Champs Elysées qu’il faudra aller les chercher. A Kingakati de la Gombe. Comprenne qui pourra…
D’ailleurs, conseil d’aîné, Constant Omari Selemani devrait cesser de mettre des peaux de banane sur la route de certains de ses proches, « consciencieux et intègres », qui gardent encore toutes leurs chances de briguer de mandat dans le prochain Exécutif de la FECOFA. Ses shows et prestations médiatiques par des interventions souvent inopportunes dérangent et sabordent certaines stratégies de ses anciens proches collaborateurs par ses envolées oratoires caf-fifaphobes.
« SOLO ESILAKA TE ! ».- On comprend TH-L’Homme moderne. Car, après un management fédéral de 18 ans, sans partage, il n’est pas facile de s’en extraire totalement. C’est comme l’arrière arôme aigre-doux du piment du vieux mortier de la mémé… « Solo esilaka te ! », Comprenne qui pourra. Sans rancune. Simple restitution des faits, sacrés ! Les commentaires restent libres…