On a fait plus de temps aux formalités à la frontière nigériane que de temps de vol. un dispositif d’accueil hors du commun, de mémoire de team media officer de la Nationale congolaise. Un peu, le scénario naguère vécu lors de la Coupe d’Afrique des nations, CAN-Guinée équatoriale 2015 du temps des ravages causés à l’époque, au Libéria plus précisément, par l’épidemie hémorragique à virus Ebola. Et, l’on aura vécu, aux petites heures du vendredi 25 mai 2018 sur l’aéroport international de Port Harcourt, à l’atterrissage du VNR de l’Airbus A320 de la compagnie aérienne congolaise, « vol non régulier » de Congo Airways, le déploiement d’un dispositif sanitaire exceptionnel sur le tarmac, au pied d’avion.
Ici, on vit de psychose d’une contamination par Virus à Ebola à partir de la délégation congolaise/ sat-on jamais.. Surtout que, l »aéronef à bord duquel avait pris place la délégation l’équipe nationale de la République démocratique du Congo, les Léopards, avait décollé d’une région dite à « hauts risques », suspectée de prévalence de contamination de hémorragique à Virus Ebola….
EBOLAPHOBIE.- On a fait plus de temps aux formalités à la frontière nigériane que de temps de vol. un dispositif d’accueil hors du commun, de mémoire de team media officer de la Nationale congolaise. Un peu, le scénario naguère vécu lors de la Coupe d’Afrique des nations, CAN-Guinée équatoriale 2015 du temps des ravages causés à l’époque, au Liberia plus précisément, par l’épidémie hémorragique à virus Ebola. Et, l’on aura vécu, aux petites heures du vendredi 25 mai 2018 sur l’aéroport international de Port Harcourt, à l’atterrissage du VNR de l’Airbus A320 de la compagnie aérienne congolaise, « vol non régulier » de Congo Airways, le déploiement d’un disositif sanitaire exceptionnel sur le tarmac, au pied d’avion. Ici, on vit de psychose d’une contamination par Virus à Ebola à partir de la délégation congolaises, t-on jamais…
Une véritable « Ebolaphobie ». Surtout que, l »aéronef à bord duquel avait pris place la délégation l’équipe nationale de la République démocratique du Congo, les Léopards, avait décollé d’une région dite à « hauts risques », suspectée de prévalence de contamination de hémorragique à Virus Ebola…. C’est donc à travers les mailles du filet de ce dispositif particulier à l’immigration que le groupe de trois reporters de la Radiotélévision nationale congolaise (RTNC), bien que disposant des visas d’entrée au Nigeria en bonne et due forme, n’ont pu franchir la frontière nigériane, reconduits dans l’avion, malgré l’insistance des délégués de la NFF.
Peine perdue, car leurs noms n’étaient pas repris sur la documentation introduite plusieurs jours avant par la Fédération congolaise de football association (FECOFA) auprès de sa consœur nigériane, la Fédération nigériane de football (NFF), à la demande de la tripartite Gouvernement du Nigeria, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et l’Organisation internationale de migration (OIM).
DISPOSITIF SANITAIRE.- Avant d’autoriser le d »roulement du match amical international entre le Nigeria et la RD Congo, les deux Fédérations de football devaient au préalable remplir certaines conditions en terme de prophylaxie et surtout , fournir des garanties sanitaires suffisantes et nécessaires de « Risque zéro » de contamination par virus Ebola à travers cette rencontre. Ce qui a été fait, plusieurs jours avant le vol, notamment par la transmission documents ci-après, pour ne citer que ceux-là : Plan de vol et dénomination du transporteur aérien, Manifeste des passagers en sus des copies de leurs passeports et cartes de vaccination internationale, leurs antécédents sanitaires et sites de leurs derniers voyages,..
Dommage que les reporters de la RTNC n’étaient pas au parfum de toutes ces formalités préalables au débarquement à Port Harcourt. Puisqu’en fonction de toutes ces indications, il était disponibilisé pour chacun des membres de la délégation des Léopards RD Congo, à leur appel nominal, un kit de prévention de l’OMS, contre la transmission au contact, de la fièvre hémorragique à virus Ebola. C’est ainsi que chacun des membres de la délégation des Léopards passeront par plusieurs pré-tests de détection de quelque fièvre suspecte sous la supervision de quatre médecins légistes nigérians et d’un coordonnateur de l’Organisation mondiale de la Santé.
MENTAL PRESERVE.- C’était un véritable chemin de la croix, un véritable parcours du combattant, dirait-on, pour finalement franchir la frontière nigériane. On aura donc mis, plus de temps à la quarantaine sanitaire et à l’immigration à l’aéroport international de Port Harcourt que de temps de vol… Au moins, l’on aura épargner le mental des athlètes qui, tous, très compréhensifs, ont laissé faire les sanitaires avec l’accompagnement interne du médecin de notre équipe nationale, Dr. Jean-Pierre Bungu Kakala qui a abattu, aussi, le gros du travail d’accompagnement psychologique des athlètes qui n’ont pas eu à houspiller, à maugréer ou à faire la moue jusqu’au Presidential Hotel de Port Harcourt où ils prendront leur logement avant les entraînements en fin d’après-midi.