Heureux qui, comme le Ministre François-Claude Kabulo, est entré dans l’histoire au terme des 9èmes Jeux de la Francophonie !
D’aucuns s’ingénient machiavéliquement à chercher la petite bête népotiste dans le cabinet politique de Son Excellence monsieur le Ministre des Sports et loisirs, François-Claude Kabulo Muana Kabulo, sans se référer aux processus de sélection ordinaires basés sur le mérite. En définitive, il n’a pas été question de favoritisme ou de copinage mais de méritocratie. Qui dirait le contraire ? On attise à dessein une divergence de vues entre le Ministre François-Claude Kabulo Muana Kabulo et le Comité de Normalisation de la FECOFA. Quoi de plus normal car il est de publique notoriété que du choc des idées, jaillit la lumière. Tout finira par s’arranger et ke football reprendra sa place de choix car le mariage FECOFA-Ministère des Sports et loisirs et un mariage de cœur et de raison.
Mais, au-delà de ces fameux débats de bas étage ci-dessus épinglés, dans le seul but de nuire au prestige et à la crédibilité du célébrissime Féfé national de la RTNC et de RFI devenu patron du portefeuille ministériel des Sports et loisirs, et de ce fait sous-estimer ses réalisations à impact visible depuis son avènement à la Place ex-Royal. A ce jour, l’on devrait plutôt s’attarder sur les grands travaux des infrastructures et installations sportives dans les Complexes des stades Tata Raphaël et des Martyrs sous le bref mandat du Ministre François-Claude Kabulo Muana Kabulo sous le leadership du Premier Ministre Sama Lukonde Kyenge et l’impulsion éclairée du Président de la République et Chef de l’Etat, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, FATSHI Béton. De belles structures qui ont accueilli du beau monde venu de tous les continents de la planète dont la Région Afrique Centrale en était une préfiguration lors de l’organisation du Tournoi U20 de l’Union des Fédération d’Afrique centrale de Football (UNIFFAC).
En si peu, la RD Congo s’est insérée ainsi, en un temps éclair, dans la lignée de grandes nations en termes d’organisations sportives internationales. Il fallait s’essayer et, François-Claude Kabulo Muana Kabulo, devenu Ministre, en un coup d’essai, a réussi un véritable coup de maître ! C’est ce qu’il faille applaudir des peids et des mains, ce nouvel homme d’Etat qui ouvre d’heureuses perspectives et suscite de nouveaux appétits sportifs pour un 2ème mandat de Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo qui, d’ailleurs, s’est montré très confiant et sûr de nouvelles espérances avec le ministre , François-Claude Kabulo Muana Kabulo aux Sports et loisirs. Il l’a d’ailleurs exprimé ouvertement lors de son discours de clôture des IXès Jeux de la Francophonie.
En effet, pour FATSHI Béton, il y a lieu de «capitaliser les infrastructures léguées par ces Jeux, d’imposer des changements qualitatifs et de mettre en place des mécanismes qui permettront à la Jeunesse congolaise de rêver grand et de profiter de toutes les opportunités pour réaliser ses potentialités dans le domaine sportif». Le Ministre François-Claude Kabulo Muana Kabulo est bien dans le vison de grandeur sportive du Premier sportif congolais. Pour preuve, la belle moisson des Médailles remportées. Une grande première pour la RD Congo qui fait entrer ce jeune et nouvel Homme d’Etat dans l’histoire ! Trente-quatre (34) est le nombre total des Médailles remporté par les représentants congolais aux IXès Jeux de la Francophonie. Les athlètes, ambassadeurs de la RDC et porte-étendards dans les compétions sportives ont amassé vingt-sept (27) Médailles dont deux (2) en Or : 9 en Lutte libre (2 en Or, 4 en Argent, 3 en Bronze), 11 en Athlétisme et para-athlétisme (3 en Argent et 8 en Bronze), 3 en judo (1 en Argent et 2 en Bronze), 2 en lutte africaine ( 1 en Argent et 1 en Bronze), 1 en tennis de table ( Bronze) et 1 en jonglerie avec ballon (Bronze).
Oui ! C’est une grande première pour la RDC dans l’histoire de ces Jeux de la jeunesse dont les 9èmes de Kinshasa appartiennent au passé depuis le dimanche 6 août 2023 et l’homme le plus heureux ne devrait être autre que le Ministre François-Claude Kabulo Muana Kabulo. Il a fait oublier l’autre-là. Comme l’aurait chanté feu Franco Luambo Makiadi, « Bolobaki trop !… Bosuki lelo wapiooooooh ?». Comprenne qui pourra…
On y reviendra.