FOOTBALL CONGOLAIS : QUAND LA NORMALISATION REFUSE LA COMPROMISSION, LES MAFFIEUX S’ARRACHENT LES CHEVEUX

Le CONOR n’a aucune ambition sinon d’avoir des dirigeants intègres, responsables avec une vision pour le développement du football congolais ; et non pas des dirigeants « fabriqués  » par des commissions électorales manipulées au vu et au su de tout le monde. Car le football congolais mérite mieux que ce que voudrait lui imposer certaines personnes mafieuses qui pensent qu’elles ont l’ADN de la gestion du sport roi. Habituées aux sales combines et compromission de tout bord, celles-ci, qui se recrutent tous, pour la plupart,  d’une nouvelle race des gestionnaires professionnels du football congolais, les Omariboys comme on les appelle aussi, voient tout en noir des actions du Comité de Normalisation, CONOR pour les initiés.

Dans le souci de transparence, d’équité et de respect des règles du jeu, le CONOR qui s’est imposé par la force d’une série d’ anti-valeurs instaurées par l’ancienne gestion fédérale plus de dix-huit ans aux commandes de la FECOFA, s’est engagé résolument à assainir le processus électoral. D’ailleurs, on se rappellera d’une recommandation du Secrétaire Général de la CAF, Veron Mosengo-Omba, au terme de la dernière Assemblée Générale de novembre 2024 en ce qui concerne le processus électoral qui devrait se dérouler « en toute démocratie, de manière inclusive et surtout, avec des candidats intègres ».

En tout cas, le CONOR qui s’est refusé à toutes les sollicitations complotistes des anciens dirigeants de la FECOFA qui cherchent à revenir aux affaires par des voies détournées, voient partout des dirigeants du CONOR qui ne cessent de jouer contre leur camp complotiste qui voudrait s’appuyer sur des relations privilégiées avec certains membres des Commissions électorales pour forcer le passage et se retrouver éligibles à l’Assemblée Générale. C’est ainsi qu’à chaque tournant décisif, ces maffieux, une fois démasqués, s’adonnent à de nouvelles manœuvres dilatoires, criant à tue-tête à une énième « tentative d’obstruction, un nouvel écran de fumée’.  Que le spectacle devienne « grotesque » ou pas, les élections à la FECOFA devraient se dérouler en toute transparence.

LE CONOR A ABATTRE A TOUT PRIX

C’est normal qu’on s’en prenne chaque fois au Comité de Normalisation (CONOR) dont le mandat demeure pourtant clair afin de « remettre de l’ordre, pacifier, assainir et conduire le processus électoral jusqu’à son terme ». Et, le CONOR n’est jamais sorti de ses missions dont les mandats ont été prorogés plus d’une fois par le maître d’œuvre du processus électoral à la FECOFA, la FIFA et partant, la CAF. La responsabilité assumée par Dieudonné Sambi Nsele-Lutu, le Président et ses collaborateurs du CONOR de la FECOFA est qualifiée « d’ excès de zèle ou par dessein trouble ».,

Pris à leur propre piège des combines de bas étage, de la triche à ciel ouvert pour constituer leurs dossiers de candidature, en s’appuyant sur des imputations diffamatoires et dommageables des écrits alimentaires d’un certain RM Ghost, on mêle une pauvre dame à qui l’on doit respect et considération, mere de famille de surcroît, aux affaires du CONOR de la FECOFA où elle n’est liée de près ou de loin. Voilà où certaines élucubrations peuvent conduire à la dernière illustration de la véritable dérive des Omariboys qui ne jutent que par la mise à mort des membres du CONOR de la FECOFA au vrai comme au figuré.

LA PAUVRE ET INNOCENTE MAÎTRE PAULINE KUVUKININA

Comment peut-on faire porter le chapeau des contradictions des décisions de la Commission électorale à celles de la Commission de Recours électoral à Maître Pauline Kuvukinina qui n’a fait que son travail ? D’ailleurs, elle n’a même pas de veto pour la prise des décisions au sein de sa Commission. L’innocente n’a rien perçu des têtes de listes candidates notamment les 2.000 dollars américains pour écarter certains candidats.

Ce n’est pas Me Pauline Kuvukinina qui s’est retrouvée en « réunion stratégie‘, a t-on appris de certains témoins, au siège du Comité Olympique Congolais (COC). Les volte-face, les changements des noms des membres d’une liste à une autre n’ont pas été opérés par Maître Pauline Kuvukinina. Que sait-on encore… En définitive, Me Pauline Kuvukinina n’incarne pas l’obscurantisme encore moins la fraude. Elle a été tout simplement vigilante et a refusé, de son bon droit, de se compromettre et de valider des décisions qu’elle n’a pas prise. Elle est une grande juriste… En tout cas, elle n’a pas été « parachutée« . mais investie pleinement et légitimée par une Assemblée Générale de la FECOFA. C’est de la méprise que de la traiter d’une voix marginale et trop de pouvoir lui octroyé de « faire vaciller toute une architecture électorale, si ce n’est par un dessein souterrain visant à torpiller des candidatures jugées « gênantes » ?

CANDIDATURE DE ARLETTE BUTELA : DE LA VASTE COMÉDIE DE MAUVAIS GOÛT 

Il n’est pas interdit de soutenir qui que ce soit en période électorale. Mais, de là s’offrir en spectacle pour soutenir  « l’ascension prometteuse de la journaliste sportive Butela dans le football féminin, dont la candidature cristallise espoir et adhésion » frise de la légèreté dans les projections sérieuses. C’est par décence qu’on se refuse à tout étaler de cette consoeur qui, « manifestement, dérange » personne !

Le moins que l’on puisse dire pour elle, est qu’elle ne charrie rien dans le management du football, soit-il féminin. Elle ferait mieux de commencer par apprendre, auprès de sa Secrétaire nationale, au niveau de la Commission provinciale de football féminin. Car, au regard de la « vigilance procédurale « , elle a moins de chance de passer. Ce n’est point de l’obstruction organisée. C’est plus du droit. Il n’y aura jamais de la mise en scène juridique destinée à créer du chaos.

Félicitations à Me Kuvukinina comme soldat de la légalité sacrificielle pour que le CONOR se distingue par le parrainage des élections libres, démocratiques et transparentes, sans blocage, dans le juste arbitrage, loin de la confusion voulue des candidatures gênantes, effectivement.

ON VEUT QUELQUE CHOSE ET SON CONTRAIRE À LA FOIS

En affirmant que la FIFA a tranché, les Omariboys et leurs écrivailleurs se réveillent finalement et rentrent dans le droit chemin. Les candidats validés doivent rester en lice et dans quelles listes? Puisqu’elles n’a plus toutes les mêmes…. Le processus doit se poursuivre. Personne ne l’a interrompu « Toute autre attitude relève de la subversion institutionnelle et du sabotage pur et simple ». C’est ce que veut effectivement le CONOR qui tient au respect des règles de l’art. Il n’y a pas de haute trahison si ce n’est le refus de la compromission vis-à-vis de ses missions.

S’ ÉRIGER EN CONTRE POUVOIR DU MAL ET DES MAFFIEUX

Le CONOR doit véritablement s’ériger en contre-pouvoir légitime des anti-valeurs décriées par tous qui hypothèquent l’avenir du football congolais, si les maffieux passent entre les mailles di filet aussi bien des Commissions électorales que du Panel d’Experts qui n’offre pas de sommeil aux combinards qui voudraient de nouveaux grands scandales. Le football congolais n’en a pas besoin, surtout d’une nouvelle imposture des Omariboys.

Trop, c’est trop! Le CONOR ne doit point être une fabrique des candidats arrivistes, parvenus et non intègres pour demeurer dans la normalisation. Qu’on laisse  en paix Me Pauline Kuvukinina pour qu’elle fasse toujours son travail de juriste intègre et avertie, toujours éveillée et hyper vigilante pour que ne passe et repasse les maffieux, les Omariboys.

LE CONOR DROIT DANS SES BOTTÉS

Qui a dit, et osé même dire que le ballon, lui, ne continue pas de rouler.?  Il roulera avec ou sans ceux qui sont tombés dans le football, par effraction, en venant du basketball. Et l’histoire retiendra ceux qui auront joué pour le football… et ceux qui auront joué contre lui. Et, ce ne sera pas le CONOR de la FECOFA.

J. Gérard-Désiré ANGENGWA AGBEME

Après ses débuts scolaires, 1ere Promotion de l''Institut Champagnat- Collège de Binza- Institut Bobokoli actuellement, Jerry Gérard-Desiré ANGENGWA AGBEME NGENDU MBOKO est diiplomé d'études universitaires à l'Institut des Sciences et Techniques de l'Information (ISTI) actuel Institut Facultaires en Sciences de l'Infiormation et de la Communication (IFASIC). Jerry Gérard-Desiré ANGENGWA AGBEME est présentement Directeur-Coordonnareur de la Direction de la Communication et Médias de la Fédération congolaise de football association (FECOFA). Il charrie une riche expérience de plus d'une trentaine d'années de métier. Après ses débuts dans la Presse mère au sein du Groupe de presse Salongo dans les années '80, il assumera par la suite les fonctions de Rédacteur en chef et de Directeur de publication de plusieurs journaux du pays notamment EPANZA MAKITA, MAMBENGA, L'ESSOR AFRICAIN, NOUVEAU DEFI, L'ENJEU SPORTIF, LE DIPLOMATE, KIN MATCH, LA RÉPUBLIQUE, ... Il coordonne présentement le 1er Journal televisé sportif en lingala "15' YA MASANO" qu'on suit également sur Youtube sur 15' YA MASANO TV, après ses passages sur VAINQUEURS TV, DONDJA TV et DRC SPORTS...