FIFA-CAF AVEC L’AFFAIRE OMARI : Infantino veut avoir sa Confédération sur mesure!
Ce n’est pas par hasard que Gianni Infantino était très proche du tristement célèbre négrophobe, Donald Trump, qui parlait de l’Afrique en termes des « Pays de m…de ». Aucune considération envers les Fédérations africaines et partant, de leur confédération. Une fois de plus, après Ahmad Ahmad, des ingérences malencontreuses dans les élections de certaines Associtaions nationales à l’instar de la Zambie, Côte d’Voire, Ghana, etc. on en est présentement à l’invalidation de Constant Omari Selemani, présentement Membre du Conseil de la FIFA, Président ai. de la CAF et Président de la FECOFA. Cela met finalement à nu les intentions revanchardes de Gianni Infantino ne sont puls à cacher. Il veut mettre toutes les Associations nationales à genoux et partant, leurs confédérations respectives…
Il ne fait plus l’ombre d’aucun doute que Gianni Infantino use de ses élans néocolonialistes en se cachant derrière le fameux organe d’éthique de la faîtière mondiale du football pour régler ses comptes à tous ceux qui ne lui répondent pas au doigt et à l’oeil. L’héritier de Joseph-Sepp Blatter écrase tout sur son passage pour s’offrir de fidèles serviteurs au niveau de toutes les Associationss nationales en partant de leurs confédérations respectives. La manœuvre est toute simple.
STRATAGEME A LA GIANNI.- Dès qu’on se rapproche des échéances électorales fédérales et/ou confédérales et on active la Commission d’éthique de la FIFA qui, disqualifie sans tambours ni trompettes, le potentiel contestataires des vues du Tout-puissant Gianni Infantino. Ainsi, il serait écrit que, sous la FIFA d’Infantino, le destin de l’Afrique devrait être entre ses mains. Les Africains se posent de ce fait la question de savoir si la FIFA est là pour servir l’Afrique, ou si l’Afrique est là pour servir Gianni Infantino et ses quelques amis sur le continent.
L’Afrique est pour l’instant dans l’oeil du cyclone après le continent europééen de l’ère Platini qu’il a réduit à sa plus simple expression et continue encore à le traquer jusque dans ses derniers retranchements. Le même Michel Platini qui a fissé Gianni là où il est pour l’instant. il saute présentement clairement aux yeux de tous que Gianni Infantino voudrait des élections sur mesure à la CAF pour faire passer, beaucoup facilement à l’avenir; ses vues de colon qui ne tiennenet nullement compte des intérêts et du développement du football africain.
TOUT AMENER A SON NAUFRAGE.- La traque à la Gianni est désormais à l’ordre du jour. Ainsi, un à un, tous ceux qui se sont opposés ses « innovations » pour les compétitions tous les 4 ans et à l’embauche de Fatma Samoura au Secrétariat général de la CAF sont indexés et mis hors course… Il veut se débarrasser des hommes forts qui l’ont pourtant aidé à être lui même à la FIFA car si tu as la CAF, tu as le pouvoir en poche, car près de 52 fédérations la constituent… Gianni Infantino est le spécialiste en matière des « lâchages ». Après Michel Platini qu’il continue de combattre, alors que c’est ce dernier qui l’a amené au football; Ahmad Ahmad et même Fatma Samoura qu’il voulait imposer comme Secrétaire générale de la CAF, n’est plus en odeur de sainteté avec lui comme Constant Selemani Omari ce jour. C’est comme si, sentant sa fin est proche, Gianni Infantino met les bouchées doubles afin d’amener tout le monde dans son naufrage.
Les élections à la présidence de la FIFA, on le sait, c’est en marge de la prochaine édition de la Coupe du monde au Qatar en 2022. Dans l’entretemps, Gianni Infantino s’ingénie à faire un toilettage à grandes eaux des Associations nationales et confédérations qu’il voudrait mettre sous sa coupe. Infantino est le Tribunal sous camouflage de la Commission d’Ethique de la FIFA… Il sanctionne qui il veut, quand et comment il veut mais il ne touche pas tout le monde, ses nouveaux amis. C’est Infantino qui voudrait, en fait, être le vrai président de la CAF, le patron du football africain avec les CAN tous les quatre ans.
Des observateurs avertis du football mondial, à l’instar de Paul Nicholson du web site Inside Word Football, constate en effet que le rôle de la FIFA dans la politique du football africain fait de nouveau l’objet d’un examen minutieux après que l’instance dirigeante mondiale ait étonnamment exclu l’actuel président par intérim de la CAF, Constant Omari Selemani, de la République démocratique du Congo, pour qu’il ne soit pas candidat Membre au Conseil de la FIFA. Au même moment, elle a toutefois autorisé le Sud-africain Patrice Motsepe et le Mauritanien Ahmed Yahya à se présenter à ces élections prochaines au mois de mars 2021 à Rabat. Ce n’est pas gratuit en effet mais, des candidats qui ne sont pas aussi propres.
On y reviendra…