ÉLECTIONS À LA FECOFA : ELLES AURONT LIEU MALGRE LE CALENDRIER 2025 CHARGE
On voulait des élections à la FECOFA. Le CONOR avait pour mission de les organiser dans les normes recommandées par la FIFA et la CAF. Véron Mosengo-Omba, SG de la CAF avait même évoqué le mois de mai prochain lors de la mise en place des Commissions électorales de la FECOFA, le 1er novembre 2024 au Fleuve Congo Hôtel.
On s’y est donc résolument engagé mais on continue, pour certains pourfendeurs et jaloux des actions d’éclat du la nouvelle gestion fédérale, a chercher des poux sur la tête des actuels managers du football qui ont redonné de la superbe au football congolais et susciter de nouvelles espérances.
La gouvernance positive dont se fait l’apôtre le président de la FECOFA, Dieudonné Sambi Nsele-Lutu, ne cesse d’aligner maintes performances à tous égards. S’il est vrai que le calendrier 2025 est chargé en termes des phases finales, CHAN en février 2025 (Kenya, Tanzanie,& Ouganda),, CAN U-20 en avril 2025 (Côte d’Ivoire), CAN féminine en juillet 2025 (Maroc) et CAN Maroc 2025 en decembre2025-janvier 2026, il n’est pas exclut que les élections soient organisées dans l’entre-temps puisque pilotées par des organes indépendants, les Commissions Électorale (CEL) et de Recours électoral (CRE).
Ce ne sont que de mauvaises langues qui font allusions à des indiscrétions nées de leur imagination fertile faisant état des intentions du CONOR de s’éterniser pour que les élections ne soient pas organisées.
Non seulement que le CONOR ne s’offre aucun mandat en plus du fait que la surcharge du calendrier n’est nullement liée à l’organisation des élections pour lesquelles le calendrier électoral est en cours de même que les représentations desdites Commissions installées à tous les niveaux des Entités subdelegataires de la FECOFA.
2025 verra la FECOFA se doter d’un nouveau Comité Exécutif élu démocratiquement. Quitte au CONOR de la FECOFA de continuer à s’acquitter de ses missions telles que définies par la FIFA et la CAF. D’aucuns voudraient même d’un autre CONOR car, soutiennent-ils, celui dirigé par Dieudonné Sambi Nsele-Lutu manque de « sportivité et de de solidarité ». Aussi voudraient -ils d’un nouveau CONOR avec d’autres membres sans élections…
Ils veulent, en fait, quelque chose et son contraire à la fois Pourquoi vouloir encore d’un autre CONOR au moment où l’on crie sur tous les toits pour des élections? Une chose est vraie, autant laisser au CONOR Sambi de vider ses dossiers,vde gérer les compétitions auxquelles il a qualifié le pays sous son leadership. Le Comité Exécutif, une fois élu, se fera ainsi accompagner jusqu’à la passation définitive des outils de gestion de la Federation.Ça ne serait que pure logique empreinte de beaucoup de bon sens.