LA FIFA-CAF IMMOBILISE LA MACHINE ELECTORALE MAFFIEUSE, EN PERTE DE VITESSE, QUI CRIE AU COUP D’ÉTAT DÉGUISÉ ET A LA MANIPULATION…
Il ‘y n’a pas de blocage, encore moins de manipulation du processus électoral à la FECOFA. Aucune entorse jusque-là dans le chef de ses animateurs qui, d’ailleurs, ont reçu mission des organes faitiers du football mondial et continental de veiller à l’intégrité du processus. Incapables de mettre sous leurs bottes les respectables membres du CONOR de la FECOFA, les maffieux s’arrachent les cheveux et crient au « coup d’État déguisé » après la neutralisation de leurs pions qui avaient pour mission « d’aller vite aux élections pour placer les leurs ». Plus d’une fois, le pot aux roses a été découvert.
D’abord, du temps du célébrissime Colonel-Magistrat militaire aux accointances révélées avec l’Homme moderne des Champs Elysées, du faux au vrai, ayant conduit à l’annulation du processus. Ensuite, cette fois-ci, même avec le vertébré Michy Enyeka, il n’a pas su assouvir les appétits qu’il avait suscités, offrant de la matière aux Analystes sportifs, nom de refuge d’une certaine nouvelle catégorie des professionnels des médias, sans attaches rédactionnelles connues qui évoluent en papillonnage sur les chaînes des radios et télés d’autrui, sur fond de trafic d’influence et des comms d’intox sur les réseau sociaux. C’est à coup d’espèces sonnantes et trébuchantes qu’ils s’accrochent à leurs commanditaires et servent en miettes celles ou ceux des confrères qui leur offrent l’hospitalité de leurs studios et plateaux télés au nom d’une « armée numérique » de funeste réputation.
L’HOMME À ABATTRE, DIEUDONNÉ SAMBI NSELE-LUTU.- On comprend dès lors, au regard de tout ce qui précède, pourquoi certaines plumes, généralement alimentaires, s’aiguisent ces derniers temps contre la FECOFA, mieux, contre certains membres du CONOR, plus précisément son Président, Dieudonné Sambi Nsele-Lutu qui ne les rejoint pas dans les caniveaux en refusant de se retrouver proprement dans la mare aux porcs. Comme l’aigle, il plane, là où la bave des crapauds ne peut l’atteindre.
La FECOFA du Président Dieudonné Sambi Nsele-Lutu a bien fait son travail de l’œil et d’oreille de la FIFA et de la CAF. Le CONOR ne pouvait que faire cela. N’en déplaise à ceux qui voudraient lui faire la leçon d’intégrité morale et de transparence dont ils sont ignorants, de par leur passé. Ce ne sont pas des modèles. Quoiqu’on dise, l’intervention du Comité de Normalisation (CONOR) pour le cas de la candidate Mme Olive Kiloha rentré effectivement dans ses attributions et, il a joué son « rôle d’accompagnemen neutre et bienveillant ».
DE LA PURE SORCELLERIE.- Ce sont de petits esprits qui peuvent reprocher au CONOR de la FECOFA d’avoir pris parti pour défendre les intérêts de ses membres et des personnalités spécifiques à l’instar de la Présidente de la LINAFF, Mme Olive Kiloha, candidate de surcroît, dont on cherchait à l’extraire par des fausses accusations xénophobes, du processus électoral.
Même la FIFA et CAF s’en sont préoccupées et émues au point de solliciter auprès de la 5ème Vice-présidente de la CAF en charge du football féminin, Mme Bestine Kazadi, Ministre congolais de son état, pour le suivi dudit dossier de Mme Olive Kiloha jusqu’à sa libération. Dieu merci, on n’avait rien à lui reprocher.
Aujourd’hui, la candidate Olive Kiloha est libre de ses mouvements. On attend les révélations promises par Charles Masudi et cie… Comment peut-on se permettre, sinon par mauvaise foi manifeste, qualifier le suivi du CONOR pour qu’un de ses membres recouvre sa liberté, de « manœuvres d’une stratégie délibérée de préservation des privilèges de certains acteurs influents du football congolais, au détriment du respect des principes fondamentaux d’équité et de transparence »?. Tout simplement de la sorcellerie car c’est vouloir quelque chose et son contraire à la fois, dans le seul but de nuire, en crachant même sur la main qui l’avait nourri à une époque récente.
LES MAFFIEUX SONT AUX ABOIS.- Apparemment, les Omariboys et consorts ainsi que leurs adeptes voient tous leurs calculs faussés par la dernière correspondance de la FIFA et de la CAF, confiant la suite du processus à un Panel d’Experts. Ils ne savent plus à quel saint se vouer et se débattent comme des diables dans un bénitier.
Tous ces anciens collabos des Omariboys ayant saigné à blanc la FECOFA plus de 18 ans durant, sont en quête de repositionnement dans les meilleurs délais au niveau des instances de gestion du football national. Ils ne ratent aucune occasion de tirer à boulets rouges sur l’actuelle gestion fédérale des qu’il s’agit de remettre la pendule à l’heure.
L’évidence saute aux yeux de tous. Les Commissions électorales étaient à la solde de tous ces malfrats du football national, ayant évolué dans les couloirs de certains clubs en mal de notoriété qui s’acharnent à trouver des postes aussi bien au niveau des Ligues nationales pour se projeter, même par personnes interposées, au niveau de la FECOFA, justement « une institution qui incarne la transparence et l’intégrité dans l’organisation des élections en l’épargnant de s’adonne à un jeu d’ombres et de manœuvres dilatoires devant compromettre gravement le bon déroulement des élections dans le football congolais ». Ils n’ont pas réussi à dribbler tout le monde. Le CONOR veillait au grain en effet.
SONT PRIS QUI CROYAIENT PRENDRE.- La récente communication de la FIFA et de la CAF remet de l’ordre dans la boutique dans la mesure où, même les frondeurs de la FECOFA, reconnaissent qu’elle présente « un soutien juridique formel ». Comment peut-on alors soutenir que « cela ne fait que souligner l’ampleur de la dérive dans laquelle cette instance se trouve prise »? Il doit être bien compris qu’à la FECOFA, les membres du CONOR travaillent pour le compte de la FIFA-CAF et naturellement, lui font rapport au quotidien de tout ce qui se passe, en toute régularité et correction, sans aucune tentative de manipuler le processus électoral et de prolonger indéfiniment le statu quo. Sinon, les Commissions électorales ne fonctionneraient même pas.
Justement parce qu’elles fonctionnent en toute indépendance qu’on a relevé des contradictions dans leurs décisions. Pourquoi doit-on y mêler la FECOFA sous le fallacieux prétexte d’y mettre « de la plus grande opacité et de l’incapacité flagrante de l’instance dirigeante du football congolais à organiser des élections dans le respect des normes les plus élémentaires ».
Est pris qui croyait prendre au finish. La FECOFA n’y est pour rien dans les dérives électorales actuelles sorties des prestations des Commissions électorales. Ce sont des les hommes-liges, du moins une partie, qui se sont grillés en confondant tout, mode opératoire accéléré et strict respect des critères statutaires d’éligibilité.
Qui ne sait pas qu’il y a eu des plaintes, reprises d’ailleurs dans la note officielle indiquant que la FIFA et la CAF en auraient pris acte? Faudrait -il en faire des copies pour la place publique ? C’est connu de tous qu’il y a eu certains candidats repêchés, à la base des contradictions entre la Commission électorale et la Commission de Recours électoral qui « constitue en soi une source de préoccupations majeures » donc de compromission probable. Les allégations concernant ces «contradictions », ont bel et bien été « émises par des candidats non identifiés certes mais pour quelles raisons elles ne peuvent-elles pas être transmises, « formellement adressées à la CAF, comme cela a été clairement rappelé »?.
PRENDRE NOTRE MAL EN PATIENCE. L’opinion sportive nationale ne dénonce rien car elle ne voit pas de « logique pernicieuse qui transforme l’élection en un combat d’influences, au lieu de la laisser être un processus démocratique clair et net« . Il l’est effectivement, démocratique clair et net sans quelque instrumentalisation du processus électoral à des fins de calculs politiques et de protection des intérêts privés de certaines personnes qui comptaient sur leurs hommes placés dans les Commissions électorales de la FECOFA a-t-on constaté.
Maintenant qu’ils sont neutralisés, ils crient sur les toits au scandale, au voleur volé ! Qu’à cela ne tienne! Le chien aboie, la caravane électorale passe mais, cette fois-ci encore avec des femmes et hommes nouveaux du Panel d’Experts de la FIFA et de la CAF. Il y va, « non seulement de l’image du football congolais, mais aussi et surtout de la confiance des acteurs majeurs du football dans l’intégrité des élections qui doivent être un modèle d’égalité et de respect des règles ».
Effectivement, l’appel solennel lancé à la FIFA par une certaine presse, « de ne pas se laisser abuser par des faux-semblants » a été bel et bien entendu. C’est pour cela que la FIFA a pris « des mesures nécessaires pour garantir que le processus électoral se déroule dans les délais et conditions qui avaient été fixés« . De même, aussi, l’interpellation de la CAF par la même opinion, « pour qu’elle s’assure que cette situation ne dégénère pas en une crise permanente, où des décisions dilatoires ou partiales viendraient entacher la crédibilité et la légitimité des futures élections au sein de la FECOFA ». Ce qui est du reste de mise présentement, à bon escient. Il ne reste plus que prendre tout simplement patience car, il est une sagesse qui enseigne : « Aussi longtemps que dure la nuit, le soleil finit toujours par se lever...